Christian Weber est un personnage attachant. Du haut de ses soixante-huit printemps, ce typographe de formation a notamment travaillé en PQR, est passé par la photographie en 1970, avant de s’orienter vers le film institutionnel en 1984. Avec son accent alsacien, il enchaîne les anecdotes de tournages de l’époque du U-matic jusqu’à l’explosion du numérique. « J’ai conservé beaucoup de matériel de ces années passées », dit-il en souriant.
Rachel Weber, sa fille, qui a déjà une longue expérience de la prise de vue et du montage, collabore régulièrement avec son père. En temps normal (c’est-à-dire sans Covid) l’entreprise réalise un chiffre d’affaires …
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