Ces nouveaux SSD constituent une option de choix pour les enregistreurs vidéo. Ils assurent aux vidéastes des capacités de stabilité, même à haute vitesse, plus de confiance et des coûts de fonctionnement réduits du fait de leur longue durée de vie.
Grâce à la technologie de correction d’erreur de code de Sony, le SSD série G de 960 Go peut atteindre 2400 téraoctets en écriture. Le disque dur 480 Go atteint, quant à lui, 1200 téraoctets en écriture, ce qui se traduit par un remplacement moins fréquent et un retour sur investissement accru. Les 2400 téraoctets du SV-GS96 lui confèrent une durée de vie de près de dix ans, avec une écriture complète des données sur le disque cinq fois par semaine en moyenne.
Les SSD sont également conçus pour offrir une écriture de données ultra-rapide et stable. Contrairement à d’autres SSD qui voient leur vitesse d’écriture chuter soudainement après plusieurs cycles de réécriture, ils intègrent une technologie qui empêche ces pertes brutales de vitesse et assure une grande stabilité aux enregistrements vidéo 4K à débit binaire élevé, sans réduction des images. Par exemple, lorsqu’ils sont utilisés avec un Shogun Inferno d’Atomos, les SSD de la série G peuvent enregistrer des vidéos stables au format 4K 60p (ProRes 422 HQ).
Les deux SSD sont faciles à extraire de l’enregistreur et à connecter à un ordinateur (adaptateur Sata non inclus) en vue de télécharger les fichiers enregistrés. Le montage s’en trouve simplifié et accéléré, grâce à des vitesses de lecture atteignant 550 Mo/s.
La série G comporte également une technologie de protection des données afin de garder le contenu à l’abri et de le conserver intact, même en cas de panne de courant imprévue. Contribuant encore à la stabilité des SSD, leur connecteur résistant est capable de supporter une utilisation extrême (jusqu’à 3 000 insertions/extractions répétées), soit une tolérance six fois supérieure à celle des connecteurs Sata standard.