Dès l’arrivée sur le marché des premiers DSLR proposant des fonctionnalités vidéo, certains fabricants se sont mis en tête de nous proposer des accessoires pour les faire ressembler à de vraies caméras, viseurs, épaulière, micro, éclairage Led, etc. J’ai toujours été plutôt partisan du fait qu’un boîtier devait se suffire à lui-même et pouvoir être utilisé tel quel dès sa sortie de boîte ; néanmoins il y a des moments ou l’accessoirisation devient nécessaire.
LA CAGE
La cage est un accessoire à ne pas négliger, c’est avant tout un outil qui permet de protéger son boîtier des éventuels chocs et autres cascades accidentelles. La plupart du temps ces cages sont en alliage d’aluminium, elles apportent une multitude de points d’accroche et de la rigidité pour fixer des accessoires, éclairage/moniteur/enregistreur/micro, etc. Les marques qui ont retenu mon attention sont Tilta, Shape, 8Sinn et SmallRig qui proposent une variété de cages, tiges, bras magiques et autres poignées qui constitueront la base de votre kit.
Shape est un constructeur québécois qui fait de très jolis produits en petites séries. Le fameux « bouton shape » est une invention géniale qui vaut à elle seule tous les superlatifs ! J’adore leurs systèmes de bras magiques et d’accroche en général.
Tilta est un constructeur chinois sorti de nulle part il y a quelques années, qui fait des produits très bien finis avec un très bon rapport qualité-prix. La qualité d’usinage et de finition est vraiment très bonne.
SmallRig est en train de prendre de grandes parts de marché, ce n’est pas cher, c’est plutôt robuste et bien fait.
8Sinn est une société polonaise qui fait d’excellents produits dans un rapport qualité-prix très juste. Leurs cages sont très bien pensées et finies. J’apprécie le fait qu’ils prennent vraiment en compte l’ergonomie naturelle du boîtier en proposant des structures très enveloppantes.
LE MICRO
C’est, à mon avis, l’accessoire que toute personne qui veut produire du contenu audiovisuel doit acheter en priorité. Les hybrides et autres DSLR ont tous un micro intégré, mais il est rarement de bonne qualité. Que ce soit pour de la prise de son ambiante, des interviews ou des voix en fiction, c’est l’accessoire indispensable.
Outre les traditionnelles marques comme Sennheiser, qui sont une référence incontournable, et Røde, le constructeur australien qui a produit de nombreux micros de bonne qualité à un tarif abordable, j’ai apprécié le matériel d’autres fabricants comme Audio Technica, Deity ou encore Pico Gear.
Mon coup de cœur de ces derniers mois, c’est le super malin Pico Mic Wireless, une société française qui a créé un système de micros HF double canal d’un rapport qualité prix incroyable. Déjà, c’est très intelligent, il s’agit d’un boîtier récepteur qui intègre deux petits micros HF qui se rangent avec un système magnétique sur le boîtier récepteur et qui se rechargent à la manière d’écouteurs type AirPods de chez Apple. La qualité du son est au rendez-vous, l’interface logicielle est très intuitive, l’autonomie énergétique excellente et il se recharge en USB. Combien de fois me suis-je retrouvé à devoir acheter des piles au dernier moment car les micros HF que j’ai en consomment énormément ?!
Le Pico Mic fonctionne sur la fréquence des 2,4 GHz et gère de façon intelligente la recherche de la meilleure fréquence disponible en fonction de votre environnement. La portée est très satisfaisante, c’est un produit surprenant qui permettra à tous ceux qui ont besoin d’un système double micro, pour faire des interviews par exemple, de partir tranquille.
Deity propose aussi des micros HF, mais ce n’est pas ce qui a retenu mon attention ; ils ont un petit micro HF filaire qui coûte une quarantaine d’euros et qui sort une qualité de son absolument incroyable pour le prix. Le V-Lav est toujours dans mon sac au cas où, et j’ai sorti de très bons enregistrements avec. Il est doté d’un fil très long qui permet de faire du « face camera » même à une distance respectable de la caméra. L’autre micro de la marque qui m’a séduit c’est le V-Mic D3 Pro, un micro canon super cardioïde livré avec une suspension efficace contre les bruits de manipulation, créé par le leader mondial des suspensions et autre bonettes anti-vent, Rycote.
L’autonomie est d’environ 74 heures en veille et 51 heures en utilisation ; il se recharge aussi en USB-C, ce qui permet d’éviter aussi les problèmes de piles. Certains produits de la concurrence nécessitent par exemple une pile de 9 volts qu’il est de plus en plus délicat de trouver dans une boutique au coin de la rue. Ce micro est équipé d’un potentiomètre de gain variable à l’arrière, facile à régler et qui apporte un vrai confort d’utilisation. Par ailleurs, certains DSLR et autres hybrides ont des préamplificateurs de qualité moyenne ; il vaut mieux avoir un bon niveau de sortie sur la source pour ne pas trop subir ce genre de chose.
Côté prise de son ambiance, j’avoue avoir un faible pour le Røde Stéréo VideoMic X qui est vraiment exceptionnel en tant que couple dit XY. Ses filtres actifs et sa double connectique mini XLR et mini jack en font un outil polyvalent et très intéressant.
ÉCLAIRAGE
Je ne m’aventurerai pas à parler de tous les projecteurs Led disponibles sur le marché car j’aurais de quoi remplir la totalité du magazine tant l’offre actuelle est vaste. Je vais me contenter de vous parler de ces mini panneaux Led que l’on peut fixer sur une caméra, un hybride ou un DSLR. Mes préférés en la matière ce sont les Aladdin A Light car leurs projecteurs bicolores ont une qualité d’éclairage supérieure à la moyenne, une bonne autonomie, un encombrement assez limité, une batterie intégrée, une recharge en USB, mais ils ne sont pas les moins chers.
Dans les premiers prix, il y a les PilotFly AtomCube Rx1 qui sont à la fois costauds, pratiques et avec une qualité de lumière tout à fait correcte et surtout une plage de température de couleur assez large et tout un tas d’effets RVB.
Les Aputure AL-M9 coûtent à peine 55 euros et ils sont aussi très intéressants pour le prix. Le modèle AL-MW est quant à lui très surprenant car il est certifié IP68 et tient immergé dans l’eau pendant quelques minutes.
ÉCRAN AVEC ENREGISTREUR OU PAS
Il y a quatre fabricants qui se disputent le marché des écrans enregistreurs, Atomos, Blackmagic Design, Convergent Design et Video Device.
Il semble qu’Atomos soit devenu leader sur ce marché et il est vrai que leur Ninja V et autre Shogun Inferno sont très pratiques à utiliser. Ces écrans enregistreurs offrent désormais la possibilité d’enregistrer un signal Raw compressé, soit le ProRes Raw de chez Apple sur les produits Atomos, soit le Blackmagic Raw.
Convergent Design et Video Device proposent des produits mieux finis, mais il semble qu’il n’y ait aucune nouveauté depuis bientôt trois ans chez les deux constructeurs. Je me demande même si VideoDevices, qui est une division de SoundDevices, grand spécialiste de l’audio, n’a pas stoppé son activité ?
En clair Atomos et Blackmagic se sont déclaré la guerre et ce n’est pas pour le bonheur des utilisateurs car comme je l’ai expliqué dans le numéro 3 de Moovee c’est la guerre des codecs.
Le Ninja V, même s’il est encore un peu énergivore, a ma préférence, je le préfère aux modèles 7 pouces qui sont à mon avis beaucoup trop volumineux pour être considérés comme un accessoire à nos précieux hybrides. J’aime bien l’idée de conserver une certaine logique dans le rapport de taille / poids et du coût des accessoires que nous pouvons greffer sur nos photocams.
À quoi sert un enregistreur externe me direz-vous ? Il y a plusieurs raisons d’en utiliser un, la première est de proposer un enregistrement d’une meilleure qualité que ce que propose votre boîtier en interne. Même si la qualité a vraiment augmenté ces trois dernières années avec l’arrivée d’hybrides comme les Lumix GH5 et Lumix S et autres Fujifilm XT3 / XT4 qui sont capables d’enregistrer en interne du 4:2:2 10 bits. Ce n’est pas toujours le cas et certains comme les Nikon Z6 et Z7 ne proposent le 10 bits que sur leur sortie externe. Les Sony Alpha par contre restent en 8 bits, même sur la sortie et se contentent de passer du 4:2:0 au 4:2:2… À noter aussi que les Nikon Z sont les seuls à proposer du 12 bits Raw compressé via cette sortie HDMI.
L’autre avantage c’est que même si le poids des fichiers est plus important que les codecs dérivés sur H.264 sur ces hybrides, ils sont plus simples à travailler dans votre logiciel de montage, qui sera plus à l’aise avec du DNx Avid ou du ProRes Apple que sur du H.264 ou H.265 pour la partie décompression. Un point important aussi, ces enregistreurs permettent aussi de s’affranchir de la limite des 30 minutes d’enregistrement continu encore présente chez de nombreux constructeurs. Et bien entendu ce sont des écrans qui proposent une qualité d’affichage et des outils d’assistance à la prise de vue de bien meilleure qualité que ce que nous pouvoir avoir sur nos boîtiers habituels.
Il existe bien entendu des écrans sans enregistreur ; Atomos a sorti un Shinobi récemment, qui est une sorte de Ninja V sans la partie enregistrement. Dans les marques qui proposent ce genre d’écrans à petit prix j’ai noté Lilliput, la marque Feelword ou encore PortKeys semblent être de bons outils accessibles.
FOLLOW FOCUS HF OU MÉCANIQUE
Un follow focus, qu’il soit sans fil ou mécanique, coûte très cher à la base. Les marques qui font références dans le monde du cinéma proposent des systèmes très performants mais totalement hors de portée pour nos budgets de filmmakers indépendants. Tilta, PD Movie et DJI principalement ont réussi à rendre ce type d’accessoires plus accessibles.
Le PD Movie Live Air II a retenu mon attention. Il est facile à utiliser, plutôt compact et efficace, les moteurs sont costauds, je regrette juste le système de batterie qui est parfois un peu étrange, il n’y a pas de détrompeur pour mettre les batteries dans leur logement, ce qui complexifie un peu la tâche dès que l’on veut les mettre en charge ou les remettre dans les moteurs.
Les Tilta sont efficaces aussi et le Nucleus Nano d’un très bon rapport qualité prix, mais il faut passer par une alimentation externe, ce qui rend leur utilisation plus compliquée sur un boîtier hybride à mon avis.
Chez DJI la proposition est sympathique, mais j’ai eu beaucoup de mauvais retours sur la fiabilité des moteurs dans le temps, qui ont tendance à griller chez de nombreux loueurs.
STABILISATEURS ET AUTRES « GIMBALS »
Il n’y a encore pas si longtemps quand on pensait stabilisateur, automatiquement on pensait Steadicam. Que ce soit l’original ou les nombreuses copies, la stabilisation mécanique inventée par le grand maître Garrett Brown faisait référence absolue. La stabilisation a été révolutionnée en 2012 par le constructeur américain Firefly et, dès 2013, de nombreuses copies sont arrivées sur le marché.
Le principe consiste tout simplement à utiliser la nacelle de stabilisation basée sur des moteurs brushless qui compensent les mouvements détectés par des capteurs électroniques sur trois axes. Ce type de tête 3D, qui fut d’abord utilisée sur les drones ou au bout des grues, est ici simplement installée sur une simple potence que l’on porte à la main.
Le Movi a été introduit par monsieur Vincent Laforet qui fut le grand influenceur de Canon avec le lancement du 5D MKII en 2008. L’invention est assez géniale et non brevetée, ce qui fait qu’aujourd’hui il y a pléthore de propositions.
La star incontestée dans ce domaine c’est DJI avec ses fameux Ronin et notamment le Ronin S qui est un stabilisateur à une main robuste efficace et plutôt fiable.
Le challenger, c’est un autre constructeur chinois qui propose ses fameux Crane et autres Weebill, et qui s’impose petit à petit sur le marché.
Mon point de vue est que je trouve que ces outils sont un peu utilisés à outrance et qu’on en arrive à saturer de trop de stabilisation. Je préfère la stabilisation du Steadicam qui me semble moins robotique et plus humaine. Quand je vois aujourd’hui de jeunes vidéastes ne pas savoir faire un plan sans leur gimbal, je me dis qu’il y a un truc qui cloche. Une bonne caméra à l’épaule peut aussi apporter quelque chose à la narration d’un film. Nous sommes dans une phase de l’histoire où tout le monde veut suivre la mode et celle des stabilisateurs est un peu trop omniprésente à mon sens.
Voilà un outil qui nécessite aussi un minimum d’apprentissage, il faut passer du temps à l’équilibrer mécaniquement avant d’appuyer sur le bouton par exemple. J’ai rencontré beaucoup de débutants qui se passent de cette étape et qui sont forcément déçus.
La marque Steadicam propose des produits tout aussi accessibles qui offrent une belle qualité de stabilisation avec des produits 100 % mécaniques et qui ne nécessitent donc pas de batteries.
BATTERIE ET ÉNERGIE
La plupart des boîtiers hybrides récents offrent une belle autonomie avec leur batterie d’origine. Chez Sony les Alpha 7 III s’en sortent plutôt pas mal les Nikon Z sont très bons aussi, les Lumix S pareil. Fujifilm, avec le XT3, reste un peu en deçà de ce que propose la concurrence, même s’ils ont rattrapé le coup avec le XT4 qui offre une autonomie nettement supérieure. Il y a néanmoins des catastrophes sur certaines caméras qui ont une autonomie assez pénalisante, notamment les Blackmagic Pocket 4K et 6K qu’il faudra impérativement alimenter par des batteries externes.
Une marque sort du lot pour moi et propose des produits malins, en adéquation avec le type de budget que l’on peut réunir pour ce genre d’investissement, c’est FX Lion. C’est super costaud et à des tarifs très accessibles. J’ai totalement craqué sur leur batterie Nano One qui est super intéressante car ultra polyvalente. Véritable batterie V-Mount miniaturisée de 50 W, elle permet d’alimenter à peu près tout ce qu’il est possible d’alimenter en électricité. Elle sort en D-Tap, en USB Type A, Micro USB et Type C. Elle se recharge aussi par tous ces ports. Elle permet aussi bien de servir à alimenter votre Ninja V ou un éclairage Led, que votre Nikon Z6 via l’USB-C, ou de prolonger de quelques minutes l’autonomie de votre ordinateur portable. Grâce à une large gamme d’accessoires, vous pourrez aussi la coupler par deux pour avoir plus de puissance sur une caméra classique ou un projecteur. Il existe aussi des systèmes pour la fixer sur des tiges ou sur les branches d’un trépied.
LES BAGUES ADAPTATRICES
Un des grands avantages de nos hybrides par rapport aux reflex numériques, c’est qu’ils se sont affranchis du miroir et donc leur monture propose un tirage optique plus faible. Cela veut dire en théorie que l’on peut adapter toutes les optiques vintage du marché ou presque.
Il faut bien entendu garder en tête que vous ne pourrez pas défier les lois de la physique optique ! Un objectif en monture C conçu pour une camera 16 mm trouvé dans le placard de votre grand-père ne va pas vous servir à grand-chose, même si mécaniquement c’est sûrement possible de le monter dessus, il ne couvrira pas votre capteur surtout s’il est « full frame » et vous allez voir apparaître un vignettage tellement important que ça le rendra inutilisable.
Néanmoins il est possible de se faire plaisir et c’est sans aucun doute un monde qui devrait vous passionner. Vous trouverez pour une poignée de cerises quelques adaptateurs mécaniques pour vos Sony Alpha mais aussi pour les GH Lumix, les S de la même marque et les adaptateurs pour les Nikon Z et autres Canon EOS R arrivent petit à petit.
Deux constructeurs méritent à mon avis une attention particulière, le premier c’est le fameux Metabones qui propose en plus de la partie mécanique des systèmes de réduction de focale, sorte de transformateur optique, composé d’une lentille qui permet de réduire le fameux crop factor quand on monte par exemple une optique Canon EF sur un GH5 et éventuellement de récupérer quelques automatismes comme l’autofocus et le pilotage du diaphragme.
L’autre constructeur malin c’est Techart ; ce sont des Chinois basés à Hong Kong qui font des produits incroyables. Ils avaient retenu mon attention à la sortie des premiers Alpha 7 de chez Sony permettant de monter des objectifs Leica M et en les faisant devenir Autofocus, un dispositif de moteur faisant varier justement l’écart entre l’objectif et le capteur pour faire varier celle-ci. Ils ont sorti il y a quelques mois une bague pour les Nikon Z qui permet de monter les objectifs en monture Sony E ; ceux qui auraient envie d’un soft-switch vers les hybrides de la marque jaune pourraient se laisser tenter, ça marche plutôt bien côté Autofocus et ça permet de goûter à ces nouveaux boîtiers sans avoir à faire basculer tout son parc optique.
SLIDERS ET TÊTE MOTORISÉE
Pour vous différencier de la concurrence rien de tel qu’un mouvement de machinerie soigné. Les sliders sont des espèces de mini travellings fort pratiques qui peuvent être robotisés par le biais de moteurs et de télécommandes. Ce genre d’outils peut aussi vous permettre de produire des timelapses avec une caméra en mouvement. C’est un domaine qui est un peu moins à la mode, mais je me devais de vous en parler.
Deux constructeurs sortent du lot dans un rapport qualité prix assez incroyable, c’est iFootage et Edelkrone. Ce dernier est devenu une référence en quelques années grâce à un système de slider super malin qui permet d’avoir un plus grand débattement que la longueur du slider lui-même grâce à un système de doubles poulies crantées.
iFootage est pour moi un constructeur qui propose des produits tout aussi ingénieux, mais souvent moins chers. Leur Shark Slider Mini est un excellent produit qui me ravit à chaque utilisation. Le pilotage en Bluetooth via le smartphone est super intuitif et je l’ai beaucoup utilisé pour des timelapses.
Je n’ai pas parlé des FILTRES, mais ils ont aussi leur importance ; le filtre ND variable est, avec le micro, l’accessoire le plus important à mon avis, il permet de pouvoir tourner à grande ouverture et de conserver une profondeur de champ minimum, même en plein soleil. Un conseil, évitez les premiers prix et renseignez-vous afin de trouver un filtre qui soit neutre au niveau de la colorimétrie, les modèles pas chers ont souvent tendance à rajouter des dominantes vertes ou jaunes dans l’image.
Cette liste est bien entendu non exhaustive, il existe de nombreux constructeurs dont je n’ai pas parlé ; ce n’est pas qu’ils font de mauvais produits, mais j’ai préféré vous parler de ce que je connais. Tous ces accessoires ne sont pas indispensables et si j’ai un conseil à vous donner c’est de rester concentré sur l’essentiel, la qualité de vos images ne dépend pas de votre équipement mais de votre œil et de votre savoir-faire. Alors avant de transformer votre DSLR ou votre hybride en bazooka futuriste digne d’un futur épisode de Robocop, je vous invite à vous poser la question de savoir si ce genre d’outils est réellement indispensable. La meilleure solution avant d’acheter c’est de louer pour vous faire votre propre opinion.
Article paru pour la première fois dans Moovee #4, p.12/16. Abonnez-vous à Moovee (6 numéros/an) pour accéder, dès leur sortie, à nos articles dans leur intégralité.