Plusieurs temps forts feront la part belle aux collections emblématiques de l’Ina et à son expertise reconnue en matière de formation aux techniques d’animation, comme aux nouvelles écritures.
Dans le cadre de l’hommage rendu à l’animation française et grâce à un partenariat entre l’Ina et le Festival international du film d’animation, en collaboration avec le Syndicat des producteurs de films d’animation (SPFA), une vingtaine d’extraits consacrés à l’animation française (reportages, interviews de réalisateurs…) seront proposés sur ina.fr, la chaîne YouTube « Annecyfestival » et les réseaux sociaux du festival et de l’Ina. Plus de vingt courts métrages emblématiques de la création animée française seront également accessibles sur Ina Premium, l’offre VOD et SVOD de l’Ina.
Une table ronde Ina-Marché international du film d’animation (Mifa) aura pour thème : « Ré-enchanter la création originale de séries d’animation en France ? De l’écriture à la conception éditoriale, technologique et artistique ». Seront notamment abordées les questions suivantes : Quelle place l’animation française consacre-t-elle à la phase de recherche et développement ? Quelles conséquences pour la création originale et l’innovation ? Cette table ronde, organisée par l’Ina, en partenariat avec la Guilde des scénaristes, sera animée par Gaetano Stucchi (ancien directeur de la télévision à l’UER) ; elle réunira Gilles Daignault et Jean-Claude Mocik (Ina), Mélanie Duval et Thierry Gaudin (la Guilde des scénaristes) le jeudi 16 juin à 16h00 à l’Impérial Palace, salon Ravel A&B (durée 1h30).
Demain, mercredi 15 juin, entre 16h00 et 17h30, à l’Impérial Palace, salon Ravel A&B, l’Ina aura remis au lauréat des « Pitch Transmédia » du Mifa le « Prix Ina », doté d’un stage de formation professionnelle à choisir parmi les 470 que propose l’Institut.
Le Festival international du film d’animation, le Mifa (mais aussi le Forum Blanc) sont organisés par Citia, la cité de l’image en mouvement. Dirigé par Patrick Eveno, ce centre de ressources et de compétences dans le domaine de l’image en mouvement se décline autour de trois axes : la culture, l’économie et la formation-recherche.