Il s’agit d’une solution d’archivage pilotée par un logiciel qui gère les opérations de stockage et transfert des données. Pour protéger un contenu après édition, on le stocke localement sur bande ou disque dur. L’ADA, va permettre de le déplacer pour le stocker sur un site éloigné, au bon endroit, et assurer la recherche facile du contenu. La plupart des utilisateurs travaillent sur des MAM (Media Asset Management), avec leurs propres workflows composés d’applications métier. Le point fort de la solution ADA est que son logiciel va pouvoir s’intégrer avec les logiciels métiers et devenir pratiquement transparent pour l’utilisateur dans la gestion de la donnée. Le système peut s’interfacer à peu près avec n’importe quel système de production et déplacer la donnée n’importe où, masquant la complexité de la gestion du transfert de la donnée dans un lieu sûr.
Il suffit de faire un “glisser-déposer” avec la souris dans son éditeur et automatiquement toute la mécanique d’archivage de protection long terme va se mettre en oeuvre pour conserver les données. Par exemple, pour une production de films qui a un site de stockage local (archives locales), on assure la protection des données pour du long terme dans des sites distants. On réplique les données dans un lieu, comme le “disaster recovery”, un site qui en cas de disparition du bâtiment principal de production, protège les données. En cas de nécessité, l’ADA assurera un redémarrage facile et immédiat du travail en cours. L’ensemble de la gestion du stockage (disques durs, bandes) et de toutes les opérations de transfert s’effectuent grâce au logiciel ADA quel que soit le format (full HD, 4K).
Pour information, ASG-Atempo prépare déjà les futurs JO du Japon, en 8K cette fois, autant dire que la masse de données à gérer et à déplacer sera énorme ! Tous ces échanges de données seront gérés par l’ADA pour retrouver facilement l’information quel que soit le besoin. La “french touch” au service du sport international sera à l’honneur !