Partant de ce constat, une entité emblématique telle que l’Académie des César se devrait, dans son nouveau modèle de gouvernance, d’adopter une représentation significative des professionnels de l’animation, tous métiers confondus (producteur·rice·s, réalisateur·rice·s, scénaristes, technicien.n.es).
L’AFCA, l’AGrAF, la Guilde française des scénaristes, le SPFA, le SPI et la SRF demandent donc que le futur Conseil d’administration de l’APC intègre de plein droit et de manière systématique, des professionnels de l’animation, de l’ordre d’un dixième de ses sièges avec une représentation égale en matière de parité. Pour ces associations, la sanctuarisation d’un nombre défini de sièges pour les professionnels de l’animation garantirait une représentation équitable de la filière et une véritable implication dans toutes les étapes de décisions pour l’ensemble des orientations et des actions qui seront mises en œuvre au sein de l’Académie des César.
Pour y parvenir, des contributions indépendantes ont été transmises par chacune des entités au CNC.