Les trois entités rappellent que « le Crédit d’impôt international a fait la preuve de son efficacité, puisque les dépenses en France de projets bénéficiant du dispositif ont évolué de 57 M€ en 2015 à 152 M€ en 2016 ».
La confirmation du Crédit d’impôt international, assortie de l’abaissement du seuil des dépenses requises, permettra non seulement d’attirer sur notre territoire de nouveaux tournages de films en prises de vues réelles et fabrications d’œuvres d’animation, notamment en provenance des pays émergents, mais surtout d’engranger des commandes de prestations d’effets spéciaux numériques (VFX) et de postproduction pour lesquelles le seuil de 1M€ représentait jusqu’à présent un obstacle rédhibitoire.
Cette réforme, attendue des professionnels, « sera un puissant levier pour le secteur des VFX français afin de lui permettre de gagner des parts de marché à l’international », conclut le communiqué diffusé ce jour par les trois organisations professionnelles.