L’esprit SGO Mistika plane sur « Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées »

La Bataille des Cinq Armées, film sorti en salle en 2014 représente le troisième volet de la trilogie du Hobbit réalisée par Peter Jackson. Cette grande saga cinématographique a utilisé la technologie d’étalonnage de Mistika depuis le premier opus de la production... 
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Peter Jackson a confié la post production de ses 3 long-métrages au studio néozélandais Park Road qui s’est plus que jamais appuyé sur Mistika pour la postproduction de Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées , une coproduction de New Line Cinema et Metro-Goldwyn-Mayer Pictures (MGM) .

Les systèmes Mistika de finition et d’étalonnage ont joué un rôle central dans le travail du studio de postproduction basé à Wellington, dès le début du tournage du premier film en 2011. La solution de pointe développée par SGO a été utilisée pour la postproduction numérique en ligne, la stéréoscopie et l’étalonnage final.

Les salles d’étalonnage de Park Road utilisent aujourd’hui les plus grands déploiements des systèmes Mistika 4K et S3D au monde. Grâce à un stockage partagé à très haute capacité, les monteurs, stéréographes et coloristes peuvent collaborer en ligne de manière efficace. Des salles de mixage et des studios de bruitage et de montage sonore équipés de Dolby Atmos complémentent l’offre vidéo. Tout le travail effectué par Park Road peut être transmis à une salle de 176 places capable de projeter dans tous les grands formats, sur pellicule ou en numérique, à 24 images par seconde ou plus, y compris en 3D.

 

Pour le 3e volet de la trilogie, les outils 3D de Mistika ont été poussés jusqu’à leurs limites…

« Le fonctionnement en temps réel de Mistika a permis aux équipes responsables de l’étalonnage et de la stéréographie de travailler de manière interactive, puisque nous pouvions projeter n’importe quel format en 2D ou en 3D, » explique Meetal Gokul, stéréographe principal.

« Le système Mistika continue d’offrir exactement la bonne plateforme pour des productions de toutes tailles, grâce à des outils exceptionnels pour le développement et le mastering final de projets stéréoscopiques. »

Park Road est à la pointe du développement en matière de tournage à haute fréquence d’image (HFR), de la capture d’images numériques sur le lieu de tournage à la livraison du produit final en HFR, en passant par le montage hors ligne et le mastering en ligne. Il aura fallu à Park Road, en partenariat avec SGO, des années de recherche, de développement, de tests et d’ajustements pour créer le workflow unique utilisé pour créer la trilogie  Le Hobbit .

Le concepteur du workflow, Anthony Pratt, qui a joué un rôle central dans ce processus, fait partie de l’équipe qui a concu le premier workflow 3D HFR au monde…

Depuis le tournage du premier film de la trilogie, ni le studio ni la plateforme n’ont eu un instant de répit, les équipes travaillant à la fois à la finalisation des production mais aussi à l’optimisation technologique du pipeline. Le dernier film a donné l’occasion de déployer approche innovante et hautement efficace des workflows d’effets visuels. La post production a travaillé sur des fichiers OpenEXR version 2 dans un conteneur, il s’agissait d’une première mondiale. « L’équipe d’SGO nous a beaucoup aidés à tester et à intégrer cette nouvelle approche, et nous espérons que ce workflow sera offert dans un format et avec des librairies open source. Bien entendu, les clients de SGO peuvent aussi en profiter immédiatement ! » Anthony Pratt poursuit : « Le système Mistika  bien installé au centre de notre activité sert à toutes nos équipes comme à nos clients, avec une rapidité qui était auparavant impossible. »

« Le talent exceptionnel de Park Road transparait dans l’incroyable troisième volet de la trilogie “Le Hobbit”, » commente Geoff Mills, responsable international des ventes et des opérations de SGO… « Park Road continue de repousser les limites de l’innovation . Toujours plus exigeants, leurs besoins représentent une source infinie d’inspiration pour notre développement actuel et futur. », complète Miguel Angel Doncel, PDG de SGO.