Les pipelines forment la colonne vertébrale, modelée sur mesure, des longs-métrages d’animation. Et leur cahier des charges se met souvent en place dès le dépouillement de l’animatique. « Il doit tenir compte à la fois des exigences artistiques du réalisateur, lesquelles sont souvent liées à la narration, et du producteur qui dispose d’une enveloppe budgétaire donnée et souhaite parfois travailler avec tel ou tel studio », explique Laetitia Nurdin, première assistante réalisateur chez Je Suis Bien Content. « Il faut donc avoir une vision globale du film. »
Outre cette gestion habile des contraintes, un « bon » pipeline est aussi celui qui se partage bien, tient …
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