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Quelle place pour les chefs opérateurs dans la restauration des films ?

Avec le passage de la pellicule au numérique, le rythme de restauration des œuvres s’est intensifié. Mais comment ne rien perdre de la création originale ? C’est là que le travail du chef opérateur prend de nouveau toute sa dimension… Caroline Champetier, Laurent Dailland et Jean-Marie Dreujou racontent.
Une table ronde à la Cinémathèque réunissait Laurent Dailland (à gauche) et Jean-Marie Dreujou (à droite). © Enora Abry

 

Si la pellicule continue de tourner dans les caméras de Scorsese ou de Tarantino, elle a perdu du terrain dans l’industrie du cinéma. Cartouche LTO, cloud… le numérique offre aux œuvres cinématographiques de nouveaux moyens d’être conservées. Toutefois, passer du celluloïde à un pack de données sans se déformer n’est pas une mince affaire… C’est alors que le chef opérateur entre en scène !

Lors d’une conférence organisée à la Cinémathèque française – dans le cadre du festival Toute la mémoire du monde –, trois directeurs photo, Caroline Champetier, Jean-Marie Dreujou et Laurent Dailland ont enfilé leur casquette de restaurateur et présenté cette facette …

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